LA DEMANDE DE VISA
Antonin est désormais notre fils aux yeux des autorités colombiennes, mais il n'a pas encore acquis la nationalité française. Il ne l'aura que dans quelques mois, lorsque les Tribunaux français auront à leur tour validé son adoption.
Dans l'immédiat, il lui faut donc pour quitter le territoire colombien et entrer en France, obtenir un visa.
Annette nous amène donc ce matin à l'ambassade de France pour déposer le dossier de demande de visa.
Nous faisons le chemin avec Claudia Lejeune, qui va également déposer le dossier de demande de visa pour que Pauline puisse prochainement rentrer elle aussi en France.
Tiens, un drapeau français...
Bon, nous ne vous en montrerons pas davantage de ce petit coin de France à Bogotá, car nous avons dû laisser les téléphones, appareils photo et autres appareils électroniques à l'entrée. C'est sécurisé une ambassade !
Sachez seulement que nous avons pu déposer le dossier de demande de visa, mais que celui-ci ne sera pas traité dans l'immédiat puisqu'il manque une pièce !!!
Un document que l'AFA (Agence Française de l'Adoption) à Paris devait récupérer à la Cour d'Appel de Paris une fois apostillé par cette dernière, pour l'envoyer ensuite à la correspondante de l'AFA à Bogotá, que l'AFA Bogotá devait envoyer ensuite à FANA, et que FANA devait transmettre à Annette... Un chemin simple.
Eh oui mais ce document, Annette ne l'a pas ! Maria Teresa, à FANA lui en a donné un autre, qui ne convient pas à l'ambassade !
Erreur de FANA ? Document perdu quelque part entre deux étapes quelconques ???
Allons-nous le retrouver ? Devrons-nous le faire refaire ? Allons-nous pouvoir partir le week-end prochain ???
Suspense...
Bon, concernant Claudia, ce n'est pas mieux, c'est un autre document qui lui manque pour Pauline...
Décidément, l'administratif nous aura fait frissonner jusqu'au bout !
Heureusement, Frédérique est prévoyante et croit se souvenir qu'elle a fait une copie de ce document (non apostillé) avant de quitter la France. Si elle l'a fait, il est dans le disque dur de notre ordinateur. Nous rentrons alors à la Casa Zuetana pour vérifier. 
Nous l'avons !
Avec l'aide du personnel de la Casa, nous parvenons à en imprimer une copie.
Annette passe la récupérer. Elle pense que l'ambassade acceptera la copie du document même non apostillé.
Et comme Annette est une vraie perle, elle nous propose de repartir elle-même à l'ambassade de France dans l'après-midi pour déposer le document en question.
Et le soir, c'est chose faite: Annette nous confirme non seulement avoir pu le déposer, mais qui plus est l'ambassade l'a accepté même sans l'apostille ! Le dossier est désormais complet !
(et Annette a même réussi entretemps à compléter le dossier de Claudia pour que Pauline puisse avoir elle aussi son visa !).
Tout est bien qui finit bien.
Nous n'avons plus qu'à attendre que le visa d'Antonin soit prêt et nous verrons si nous pouvons maintenir la date du 28 mai pour notre départ vers la France !
Ouf !
ET POUR FINIR LA JOURNÉE...
Comme dans tous les cas, il reste bien quelques jours à passer en Colombie, il faudra encore des couches, du lait, des lingettes, de l'eau, des petits pots, quelques fruits pour faire des compotes... etc... (vous aurez noté que tout cela est pour Antonin !).
Nous finissons donc la journée avec un petit crochet par Carulla, un supermarché non loin de la Casa, pour procéder au ravitaillement.
Et bien évidemment, Antonin supervise l'activité, au cas où nous nous tromperions dans nos achats...
C'est que, comme on vous l'a déjà dit, ça mange, ces petits modèles, et nous n'avons pas intérêt à le décevoir !!!
D'ailleurs il faut penser aussi à nourrir Pablo: la nourriture de la Casa n'étant toujours pas son fort, il préfère se replier sur quelques denrées pirates achetées en supermarchés...
Vous remarquerez au passage que pour certains types d'aliments, il ne manque pas d'appétit !!!
ET POUR FINIR LA JOURNÉE...
Comme dans tous les cas, il reste bien quelques jours à passer en Colombie, il faudra encore des couches, du lait, des lingettes, de l'eau, des petits pots, quelques fruits pour faire des compotes... etc... (vous aurez noté que tout cela est pour Antonin !).
Nous finissons donc la journée avec un petit crochet par Carulla, un supermarché non loin de la Casa, pour procéder au ravitaillement.
Et bien évidemment, Antonin supervise l'activité, au cas où nous nous tromperions dans nos achats...
C'est que, comme on vous l'a déjà dit, ça mange, ces petits modèles, et nous n'avons pas intérêt à le décevoir !!!
D'ailleurs il faut penser aussi à nourrir Pablo: la nourriture de la Casa n'étant toujours pas son fort, il préfère se replier sur quelques denrées pirates achetées en supermarchés...
Vous remarquerez au passage que pour certains types d'aliments, il ne manque pas d'appétit !!!



allez,bientot le retour !
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